Every curler should have a game plan — and it doesn’t just apply to what happens on a sheet of curling ice.
Typically, the plan revolves around strategies — what to do, say, when you’re one up coming home without last rock. That sort of thing.
But there should be strategies for all facets of a curler’s life. Nutrition. Off-ice training. Proper sleep.
And, yes, coping with the challenges of real-life situations away from curling (or sometimes even within a curling team) — and never being afraid to simply ask someone for help.
Wednesday, Jan. 30, provides a reminder of the importance of mental health as it’s Bell’s annual Let’s Talk Day — a day devoted to reminding everyone that it’s OK to ask for help; no problem is too small when it comes to mental health.
“Even without having a mental health problem that requires diagnosis, such as depression or anxiety, you can still get help,” notes registered Psychologist (Provisional) and Mental Performance Consultant Lisa Hoffart, who also serves as a an advisor to the Game Plan program, which supports national team athletes to “live better and more holistic lives.”
“If you’re not feeling as well as you typically,” continues Hoffart in an article released by the Canadian Olympic Committee, “do talk to someone. Many athletes feel overwhelmed by things to do, but unable to act. They freeze in front of the multitude of tasks to be accomplished and are unable to take action to remedy the situation … addressing the problem as soon as possible will ensure that, with help, you can correct the situation before the problem becomes more serious.”
If you’re a curling athlete struggling to cope, don’t hesitate to ask for help. Talk to your coach, talk to your peers — just talk. This is the day for it, but every day is a good day to talk to someone about mental health.
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Tous les curleurs devraient avoir un plan de match – et pas juste pour ce qui se déroule sur la glace.
En général, le plan tourne autour des stratégies – quoi faire ou dire quand tu mènes par un point dans le dernier bout sans avoir le marteau. Ce genre de choses.
Mais il faudrait aussi des stratégies pour tous les aspects de la vie d’un curleur. La nutrition. L’entraînement hors glace. Un sommeil réparateur.
Et, oui, comment affronter les défis de la vie de tous les jours loin du curling (ou parfois à l’intérieur d’une équipe de curling) – et ne jamais avoir peur de demander de l’aide à quelqu’un.
Le mercredi 30 janvier rappelle l’importance de la santé mentale dans le cadre de la Journée annuelle Bell Cause pour la cause– une journée pour rappeler à tout le monde que c’est correct de demander de l’aide; quand il est question de santé mentale, aucun problème n’est trop petit.
«Même sans souffrir de problèmes de santé mentale pour lesquels il faut consulter, comme la dépression ou l’anxiété, vous pouvez tout de même recevoir de l’aide», note la psychologue agréée (provisoire) et consultante en performance mentale Lise Hoffart, qui agit à titre de conseillère pour le programme Plan de match, qui apporte du soutien aux athlètes de niveau national pour les aider à mener «une vie meilleure et plus holistique».
«Si vous ne vous sentez pas aussi bien que d’habitude, reprend Hoffart dans un article publié par le Comité olympique canadien, parlez-en à quelqu’un. Plusieurs athlètes se sentent dépassés par ce qu’ils doivent faire, et sont incapables d’agir. Ils gèlent devant la multitude de tâches à accomplir, et sont incapables d’agir pour remédier à la situation… s’attaquer au problème le plus rapidement possible permettra, avec de l’aide, de corriger la situation avant qu’elle ne dégénère.»
Si vous être un athlète en curling qui a du mal à s’en sortir, n’hésitez pas à demander de l’aide. Parlez-en à votre entraîneur, à vos proches – mais parlez-en. Cette journée est consacrée à ça, mais toutes les journées sont bonnes pour discuter de santé mentale avec quelqu’un.
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